Articles - Lectures
Au sommaire
- Le marketing et la publicité de la malbouffe :
un fléau pour la santé des enfants - Enquête la surexposition des plus jeunes au marketing et à la publicité des produits trop gras, trop sucrés, trop salés
- Enquête l’inefficacité des engagements volontaires des entreprises à protéger la santé des enfants L’exemple frappant de l’EU Pledge
Mal manger n'est pas une fatalité, ....
... mieux manger n'est plus une option
Pourquoi on se sent bien mieux quand on bouge :
Cerveau
- Risque accru de troubles cognitifs : La sédentarité réduit l’apport sanguin et en oxygène au cerveau, augmentant le risque de maladies neurodégénératives comme Alzheimer.
- Baisse de la concentration et de la mémoire : L’activité physique favorise la production de neurotransmetteurs comme la dopamine et la sérotonine. Sans elle, les fonctions cognitives peuvent être ralenties.
- Augmentation du stress et de la dépression : Moins de sport signifie moins d’endorphines, ce qui peut entraîner anxiété et dépression.
Poumons
- Diminution de la capacité pulmonaire : L’absence d’exercice réduit l’efficacité des poumons à capter et utiliser l’oxygène.
- Augmentation du risque de maladies respiratoires : Un manque d’activité peut affaiblir les muscles respiratoires, rendant plus difficile l’oxygénation du sang et augmentant la sensation d’essoufflement.
Cœur
- Affaiblissement du muscle cardiaque : Le cœur, comme tout muscle, a besoin d’être sollicité pour rester fort. Sans exercice, il devient moins efficace et le risque d’insuffisance cardiaque augmente.
- Risque accru d’hypertension et de maladies cardiovasculaires : Une mauvaise circulation et une accumulation de graisse dans les artères favorisent les infarctus et AVC.
Pancréas
- Augmentation du risque de diabète
Circulation sanguine
- Risque de mauvaise circulation et de varices : L’absence de mouvement ralentit le retour veineux, favorisant l’apparition de jambes lourdes et de varices.
- Augmentation du risque de caillots sanguins (thrombose) : Une position assise prolongée peut entraîner la formation de caillots, notamment dans les jambes (phlébite), ce qui peut provoquer une embolie pulmonaire.
- Accumulation de cholestérol et rigidité des artères : Moins d’exercice signifie moins de stimulation du système cardiovasculaire, ce qui peut favoriser l’athérosclérose (dépôts de plaques dans les artères).
Articulations
- Raideur et perte de mobilité : L’absence d’activité réduit la production de liquide synovial, qui lubrifie les articulations, rendant les mouvements plus douloureux.
- Augmentation du risque d’arthrose : Moins sollicitées, les articulations s’affaiblissent et s’usent plus rapidement, ce qui favorise l’arthrose.
- Douleurs chroniques : La sédentarité peut aggraver des douleurs articulaires, notamment au dos, aux genoux et aux hanches.
Muscles
- Perte de masse musculaire (sarcopénie) : Le manque de stimulation entraîne une fonte musculaire, réduisant la force et l’endurance.
- Diminution du métabolisme : Moins de muscles signifie une consommation énergétique plus faible, favorisant la prise de poids.
- Risque accru de blessures : Des muscles affaiblis sont plus susceptibles aux déchirures, entorses et autres blessures, car ils soutiennent moins bien le s
